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Killing Joke : Democracy. Il n’est pas très réussi avec ce mixage absurde, cette guitare sèche omniprésente qui n’apporte rien et ces compos moins inspirées. Le mélange des styles aurait pu être un succès durable. Pas grave. Die Krupps : Vision 2020 Vision. Retour à l’EBM métallisée. Cela satisfait...

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Rendez-vous : Superior State. Premier album de l’actuelle petite sensation du Post-Punk Indé français. Ils bousculent Frustration sur son terrain, en plus Noisy. C’est très bien, ça pourrait monter d’un niveau quand quelques grosses peines de la vie seront passées par là. PanterA : Reinventing the ...

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Blessure Grave : Judge by Twelve, Carried by Six. L’unique vrai album à ce jour du premier groupe qui a donné naissance plus tard plus au nord à Soft Kill. Sans être spécialement puissant, ce projet-ci travaille la face la plus sombre et austère du Post-Punk, façon Bauhaus ou le Cure de la Trilogie...

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Nasty Surgeons : Infectious Stench. Toujours à fort volume, la formule s’affine en se rapprochant plus de “Symphonies of Sickness” que de General Surgery. Les mordus comprendront. Slayer : The Repentless Killogy. Double live d’adieu de Slayer, jouissif comme ils le furent sur cette dernière longueu...

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Je ne suis pas spécialement fan de Costa-Gavras, mais ayant lu il y a quelques mois le livre de Yannis Varoufakis qu’il vient d’adapter au cinéma sous le titre “ Adults in the Room ”. Il nous raconte donc le passage de cet économiste grec au gouvernement Syriza récemment battu, lorsqu’il tenta en va...

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Insekt : Ohrwurmer. Le second Live de leur carrière, au seuil de l’ultime période active, avec des remixes pour faire le poids. Même avec des morceaux anciens et une reprise sans surprise, le dernier virage vers une Electro moderne très ouverte au Breakbeat était très clair. Sepultura : Machine Mes...

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Slayer : The Repentless Killogy.

Die Krupps : Vision 2020 Vision.

Ils étaient déjà là il y a trente-cinq ans.

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Pantera : Official Live 101 Proof. Mais comment ont-ils pu cautionner un son aussi affreux ? C’aurait pu être un live terrible, il n’est pas mieux que les pirates gravés qui florissaient à la même époque. The Opposition . Finalement je ne connaissais que de nom ce vieux groupe Londonien. C’est du P...

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Soror Dolorosa : Apollo. Cet album longtemps attendu est conséquent, plus aéré mais plus varié que jamais. Il y a quelques longueurs sur la fin, mais ce n’est pas préjudiciable, cela fait même un peu partie de l’angle choisi pour ce disque. L’habillage maison est magnifique, ils sont attentifs à ce...

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La brève intégrale de Bigod 20 . Sous un passeport Allemand c’était surtout Front 242 qui les inspirait profondément (J-L De Meyer participait du reste à leur plus gros succès). Leur EBM passe aujourd’hui pour old-school, alors qu’en réalité ils faisaient partie de ceux qui cherchaient à sortir des ...

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Les trois albums de Desecravity, le groupe de Death brutal japonais, ça va tabasser ! Il y a sans doute un effet coupe du monde, je n’avais pas réalisé. Espérons que ça me convainque mieux dans la durée que Defiled jadis. Commandés par bandcamp c'est en fait directement Willowtip qui les envoie.

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Misery Index : Rituals of Power. Y’a pas à dire il est bien bon, le retour à une formule vraiment plus traditionnelle après un long silence était le choix le plus sage. Beyond Creation : Algorythm. On ne peut faire abstraction de ce que c’est le troisième album d’un groupe qui est devenu rapidement...

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Finalement en passant à Paris j’ai eu le temps de faire un crochet par le Gibert de Saint-Michel et... Killing Joke : XXV Gathering - live Killing Joke : Peel Sessions The Chameleons : Peel Sessions Xymox : Twist of Shadows. Une commande plus Metal est en route, que les intégristes ne se bilent pas.

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Killing Joke : Night Time, Brighter than a Thousand Suns, Outside the Gate. Ou comment monter avec éclat dans le train de la New Wave, puis en digérer les codes à un point de se rendre méconnaissable, pour en ressortir moribond. Sepultura : The Mediator etc. Il n’a pas vraiment d’originalité partic...

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Insekt : In the Eye. La pochette est affreuse mais l’album, court, est pas mal dans son genre d’EBM fortement ouverte à l’Electro Industriel de l’époque. Sauf qu’après le duo s’est séparé pendant dix ans. Beyond Creation : Earthborn Evolution. Il est moelleux comme tout sous l’oreille, variant entr...

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Diverses nouveautés en Death brutal ou technique… cela fait un moment que je n’ai pas eu de dose fraîche. Soror Dolorosa : Sous cette pochette avenante se cache un vrai bijou de Rock Gothique, probablement un chef-d’oeuvre, et c’est Français, du Midi ! C’est le plus tonique de toute leur discographi...

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Des lives trouvés en magasin : Killing Joke : Malicious Damage - Astoria 2003 ; Laugh at Your Peril 40th Anniversary. Comme écho différé du concert de l’an dernier, je me remets à KJ. Un jour il y a bien longtemps, j’ai décidé de rouvrir ma discothèque à des groupes non Metal, après environ sept ans...

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Eh bien, les gens ? In Vain : Currents. C’est un joli album quand on le prend hors contexte, même si le groupe ne repousse plus ses limites et se permet même deux autocitations tout en rendant une copie plus courte que les précédentes. Le beau chant clair de Sindre est beaucoup utilisé. Sepultura : ...

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Depuis “Inglorious Basterds” j’avais abandonné Tarantino. J’étais sorti de la salle autant agacé qu’amusé, en me disant qu’il faudrait qu’il ferait mieux de tourner des westerns... Quand “ Django Unchained ” est sorti je suis donc resté assis sur mes dons de prophétie et le souvenir de ses deux prem...

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PanterA : Vulgar Display of Power. Je ne l’exhume vraiment pas souvent, mais je le connais toujours par coeur. C’est l’une des pierres de fondation de ma discothèque Metal. Le choix de poursuivre vers la radicalisation a permis aux Dixies de marquer à jamais l’Histoire. Il s’adressait clairement pl...

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Opeth : In Cauda Venenum. Je m’accroche au souvenir de la face A de “Pale Communion” pour me dire que ce que fait ce groupe au cours de cette décennie peut parfois encore m’intéresser un peu… The Sisters of Mercy : First and Last and Always et Floodland en édition ancienne. J’avais commis la sottis...

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In Vain : Aenigma. Le chef-d’oeuvre, à ce jour, des Norvégiens. Puissant, varié mais homogène, éclectique et inspiré sous la houlette de Jens Bogren… on ne s’en lasse pas. Sepultura : A-lex. Aussi expérimental que tout ce que fait le second Sepultura, cet album-ci est assez long. Servir le tout déc...

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Deux films sinon rien : “ Utoya, 22 juillet ” est le film du réalisateur Norvégien Erik Poppe qui aborde l’affaire selon le point de vue subjectif d’une victime de fiction de la tuerie. Le résultat oscille entre film d’horreur Pop et mise en scène austère bien scandinave. À part essayer de restituer...

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Abnormality : Sociopathic Constructs. C’est à la mode de taper sur les groupes de Death à growleuse et surtout sur leurs fans. Mais abstraction fait de cela c’est clairement bon et le combo progresse même encore, se rapprochant un peu de Morbid Angel sans tomber dans l’imitation loin de là. Soror D...

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Death : The Sound of Perseverance. Des compos ultra heavy mais surtout mal emmanchées (la reprise de “Painkiller” en final est cruelle), un growl aigrelet et une maîtrise technique certes appréciable… Je reste mitigé depuis toujours sur cet album, le moins bon, qui rappelle que Chuck Schuldiner éta...

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Misery Index : Traitors. Je me suis fait à cette production Ballou au fil des ans, et comme je le sentais à l’époque il a vraiment bien vieilli, les compos perdaient un peu en spontanéité, rien en férocité, taillées pour faire un classique qui défiera encore les siècles (se chauffer n’est pas menti...

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At Death Doors II : Ce second volume vaut le coup pour tous les fans de vieux Death Metal à l’Américaine. Presque tous les groupes participants sont devenus des groupes historiques, et il y a des raretés comme la reprise de Kiss par Death. Fear Factory faisait du brutal sans fioritures, Cynic avait...

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Schwefelgelb . Cette Electro-Punk farcie d’effets dignes de génériques des années 80 passe souvent par l’EBM pure. Avec son esthétique déjantée et son énergie débordante on aurait imaginé facilement ça sur Ipecac. Le fait d’être Berlinois attire l’attention du public qu’ils visent mais leur succès ...

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At Death Doors II. Il y a bien longtemps que j’ai le premier volume de ces compilations Roadrunner de l’époque de la première vague de Death Américain du début des années 90. J’ai trouvé ce second tome parmi les ventes d’un compère en marge d’un dernier concert.

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Insekt : Stress. Typique de l'EBM de cette époque désireuse d’explorer de nouveaux territoires pour se renouveler, il emprunte allègrement à l’Electro Indus à la Skinny Puppy, les vocaux distordus soulignant l’allégeance. Pourtant il conserve le rythme binaire traditionnel et évite largement les fa...

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Bande-son d’un weekend d’été sur la route : Misery Index : Pulling Out the Nails. Une compilation historique regroupant EPs et raretés (non exhaustivement) d’une première phase d’activité bien remplie avec toutes les notes explicatives. Ca tabasse ! The Chameleons : Les deux lives acoustiques. Les s...

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In Vain : The Latter Rain. Heureusement qu’ils sont là pour me maintenir un pied dans le Death progressif. Ce premier album frappait un grand coup, très personnel, limite atmosphérique par bien des moments, surpuissant à d’autres, varié et cohérent en diable. Sepultura : Live in Sao Paulo. Ce qui a...

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Ministry : KEՓAΛΗΞΘ. Et voilà comment un petit groupe de Synth Pop asséna dix ans plus tard un classique monumental du Metal éternel ! Et pas du raboté-policé pour emballer le collégien en mal d’émotions ! Sarcastique, agressif, déjanté, écrasant, il combine sublimement les samples utilisés. The Ch...

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Death : Human. On finit par l’oublier mais avoir évolué autant en si peu d’années, en défrichant de nouveaux territoires, par-delà ses limites apparentes, c’est tellement rare. C’est pour cela aussi que cet album reste aussi important. Certes il avait su s’entourer remarquablement (et pourtant j’ai...

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C’est l’été. L’esprit s’allège et réclame des musiques lumineuses, riantes pour célébrer dans la joie le plaisir de vivre. Ceremony of Silence : Outis. Venant de Willowtip dans son digi minimal mais joli, il introduit la Slovaquie dans ma discothèque. Le Death chaotique est florissant, mais je préfè...

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Après un jeûne musical de quelques jours en vacances, c’est la reprise. Ministry : The Mind is a Terrible Thing to Taste. Souvenirs d’un efficace concert à cette période de l’été il y a quelques années, c’est l’un de leurs albums immortels avec certains meilleurs riffs du Monde. Misery Index : Disse...

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Soilent Green : Confrontation. Même les plus déjantés finissent par tellement bien maîtriser leur projet pour le rendre plus digeste, quand il y a du talent. C’est le plus accessible de tous, cela restant déjà trop pour bien des oreilles. La pochette délaisse l’art déco au profit d’un japonais plus...

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Misery Index : Dissent. Cet EP marquait le virage vers un Death un peu plus mélodique dès le premier titre et son long solo, et une brutalité un peu plus aérée (tout restant relatif !), qui sera la marque définitive du groupe pour la suite. Sepultura : Revolusongs. Cet autre EP, de reprises, n’est ...

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Tomb Mold : Bottomless Perdition + The Moulting. Le premier mini des tout débuts se rassurait encore par un growl bien réverbéré et des traces fortes d’inspiration Suédoise. Traversant virtuellement la Baltique, le second qui a été pondu entre les deux albums est conforme à leur orientation plus ex...

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Alchemist : Organasm. C’était sans doute l’un des meilleurs groupes de Death Progressif. Le côté spatial à la Pink Floyd était parfaitement digéré dans un Death incontestable, avec des emmanchements aussi brillants que ceux d’Opeth. Nine Inch Nails : Pretty Hate Machine. Le premier et également le ...

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Criminal Element : Never Dead. Une compilation de reprises, encore. Mais cet achat a une histoire. C’est Vince Matthews qui gère directement le merchandising de son groupe et comme mon adresse était mal libellée la première fois, le paquet a retraversé l’Atlantique ! Après un échange de mails à rep...

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Soilent Green : A Deleted Symphony for the Beaten Down. Avec la touche Sudiste cela sort du lot dans un style où ils sont arrivés quinze ans trop tôt. Sepultura : Nation. L’un des meilleurs opus de la période Greene, mêlant hymnes à l’ancienne (avec une production bien différente), invitations et e...

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Ayant envie de me changer les idées l'autre soir je suis allé voir " Tolkien ". Avec tous les gens qui se sont passionnés pour son œuvre au point de dévorer aussi des études ou des biographies, plus ceux que cela intéresse mais préfèrent regarder des films que lire ce genre de livres, ce f...

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Tomb Mold : The Bottomless Perdition + The Moulting. Deux minis compilés ensemble font comme un album, en attendant le troisième qui est imminent. Beheaded : Only Death can Save You. Je ne sais pas pourquoi je le sens moins bien que les deux précédents. Peut-être à cause de la pochette moche et du ...

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Death : Scream Bloody Gore. Avec le temps le nom de Possessed finit par s’imposer comme premier fondateur du genre (d’autant qu’ils ont l’avantage de s’être reformés…). Mais à mes oreilles Death a apporté une lourdeur décisive, le gras constitutif du bon old-school. Et en tout cas cela reste un alb...

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Sans être amateur de Black j’étais fort curieux de voir “ Lords of Chaos ”. Nous connaissons tous l’histoire. La mise en scène réaliste et la pointe d’humour froid récurrente divergent complètement de la complaisance morbide du livre éponyme et rejoignent ma manière de voir ces faits devenus mythiqu...

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Septycal Gorge : Scourge of the Formless Breed. La maturité de l’écriture se poursuivait et s’alliait au retour à un plan de présentation de l’album réfléchi, comme sur le premier essai. Avec un thème, c’était d’autant plus opportun. Brutalité maîtrisée et riffs lourds s’emmanchent mieux que jamais...

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Soilent Green : Sewn Mouth Secrets. Les compos appartiennent à un monde bien camé non euclidien, entre Stoner-Sludge et Grindcore. Le juste équilibre était trouvé entre groove, agressivité et originalité. Die Krupps : Live Im Schatten den Ringe. Ce double live est lourdement consacré à l’album qui ...

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Septycal Gorge : Erase the Insignificant. Je vous le mets bien charnu, je sais que vous aimez. C’est lourd sous la luette mais vous y reviendrez je vous connais. Death : Démos et live rares. Le son est gravement pourri sur certains extraits, mais les compositions sont éternelles. The Sisters of Mer...

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Soilent Green : A String of Lies. En douze minutes, c’était déjà complètement posé. Sepultura : Under a Pale Grey Sky. Le double live à Brixton du tout dernier concert au terme duquel Max s’est fait virer, publication mercantile de Roadrunner sans l’accord du groupe retravaillée par Colin Richardso...

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