J'ai découvert ORDOS (Stoner Doom Metal, Suède) par hasard avec leur nouvel album The End, c'est vraiment pas mal du tout, pour ceux que ça intéresse :
https://ordosofficial.bandcamp.com/
Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
All is well that ends in hell
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
The Young Gods : Data Mirage Tangram. Il est rentré en moi à une vitesse… Ce n’est plus le groupe sombre et Indus d’il y a trente ans mais qu’est-ce que c’est beau, lumineux ! Il faut l’écouter fort pour jouir de toutes les nuances.
Die Krupps : Paradise Now. Il a le meilleur son Metal de toute leur discographie jusqu’à ce jour. Et pourtant les compos sont structurées parfaitement comme de l’EBM. C’est pourquoi il plaît toujours, même s’il n’a pas le statut des premiers albums explorant le Metal Indus.
Napalm Death : Utilitarian. Il ne faudrait pas que l’aura des premiers albums estompe la qualité des productions plus récentes de cette inusable institution.
Morgoth : Cursed. Ce classique du Death est plus respecté que jamais à présent par toute la scène Death Old-School, avec l’avantage d’être plus élégamment racé qu’Asphyx, et bien mieux produit que tous les groupes qui veulent faire la même chose mais avec un son singeant Entombed et toute la Suède.
Carcass : Swansong. Sur un malentendu contractuel, plus de vingt ans après ça ne cadre définitivement pas tout à fait d’avoir Carcass qui sonne aussi suave et propre. Et pourtant c’est l’aboutissement d’un retour vers le Heavy mélodique à l’Anglaise entamé en douce dès “Symphonies…”. Mais surtout, c’est toujours mieux gaulé qu’un “Sound of Perseverance” par exemple.
Die Krupps : Paradise Now. Il a le meilleur son Metal de toute leur discographie jusqu’à ce jour. Et pourtant les compos sont structurées parfaitement comme de l’EBM. C’est pourquoi il plaît toujours, même s’il n’a pas le statut des premiers albums explorant le Metal Indus.
Napalm Death : Utilitarian. Il ne faudrait pas que l’aura des premiers albums estompe la qualité des productions plus récentes de cette inusable institution.
Morgoth : Cursed. Ce classique du Death est plus respecté que jamais à présent par toute la scène Death Old-School, avec l’avantage d’être plus élégamment racé qu’Asphyx, et bien mieux produit que tous les groupes qui veulent faire la même chose mais avec un son singeant Entombed et toute la Suède.
Carcass : Swansong. Sur un malentendu contractuel, plus de vingt ans après ça ne cadre définitivement pas tout à fait d’avoir Carcass qui sonne aussi suave et propre. Et pourtant c’est l’aboutissement d’un retour vers le Heavy mélodique à l’Anglaise entamé en douce dès “Symphonies…”. Mais surtout, c’est toujours mieux gaulé qu’un “Sound of Perseverance” par exemple.
http://rbdlivereports.blogspot.fr/
"Verdades se descubren, mentiras se construyen".
"Là où les recrues se mettent à rire, les soldats éprouvés sont graves."
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
ARIA - Curse Of The Seas : Du heavy metal russe sympathique et bien produit mais quand même bien longuet et quelque peu répétitif...
Plum' de Metal, l'émission radio dédiée à la scène Metal française
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Criminal Element : Maiden Brooklyn. Un Mini qui ne déviait pas du HC Metal Côte Est, fait par des patrons. Une certaine pêche était de retour mais par contre, le son reste duraille.
Des lives de MetallicA, Gojira et Down à la soirée que j’avais promise depuis longtemps.
Fixmer & McCarthy : Into the Night. Si le son plutôt minimal reste proche de l’EBM, l’écriture rompt allègrement les canons des styles dans lesquels les deux partenaires se cantonnaient traditionnellement. C’est de l’Electro Pop versant dans la Dance de Club avec d’autant moins de complexes que personne dans ce monde ne voudrait d’eux de toute façon. Surprenant, riche et brillant, on sent qu’ils avaient pris du plaisir dans ce disque.
Sepultura : Arise. Longtemps il a souffert à mes oreilles d’être coincé entre deux classiques que je vénère encore plus, mais c’est quand même une sacrée bonne tranche de Thrash Death par une redoutable équipe (si si, même Paulo !) et le son de Scott Burns, pour une rare fois, n’aura pas vieilli.
L’album d’Equipoise. Vous connaissez mon appétence pour le Death technique Québécois mais quand mord autant sur le classique ça ne me va pas. C’est comme pour First Fragment. Pas grave, cette scène est si riche...
Des lives de MetallicA, Gojira et Down à la soirée que j’avais promise depuis longtemps.
Fixmer & McCarthy : Into the Night. Si le son plutôt minimal reste proche de l’EBM, l’écriture rompt allègrement les canons des styles dans lesquels les deux partenaires se cantonnaient traditionnellement. C’est de l’Electro Pop versant dans la Dance de Club avec d’autant moins de complexes que personne dans ce monde ne voudrait d’eux de toute façon. Surprenant, riche et brillant, on sent qu’ils avaient pris du plaisir dans ce disque.
Sepultura : Arise. Longtemps il a souffert à mes oreilles d’être coincé entre deux classiques que je vénère encore plus, mais c’est quand même une sacrée bonne tranche de Thrash Death par une redoutable équipe (si si, même Paulo !) et le son de Scott Burns, pour une rare fois, n’aura pas vieilli.
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"Verdades se descubren, mentiras se construyen".
"Là où les recrues se mettent à rire, les soldats éprouvés sont graves."
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Misery Index : Rituals of Power. Une belle pochette, un groupe qui revient clairement dans le Death Grind mélodique (si, ça existe) pour le porter aux nues par une puissance de feu redoutable, tout en ayant du fond. Depuis longtemps maintenant, c’est l’une des formations les plus admirables de leur scène, des patrons.
The Sisters of Mercy : Some Girls Wander by Mistake. Cela faisait presque longtemps… Au croisement du Velvet Underground et de Mötörhead ils ont trouvé un point particulier de dandysme noir inconnu jusqu’alors, notamment aussi avec les textes travaillés d’Eldritch. Cette fameuse compilation des débuts a profondément marqué mon parcours musical, quand j’y réfléchis.
Love Like Blood : An Irony of Fate. Je ne savais plus pourquoi je n’aimais pas ce groupe disparu, mais une telle contrefaçon de The Mission mérite déjà assez réprobation.
Morgoth : Odium. Voilà un album culte, avec sa production puissante et sèche. Le riffing original, les quelques effets Indus modérés mais percutants marquent toute une ambiance sarcastique et apocalyptique propre à ces huit titres, ainsi que ce brillant instrumental final comme on n’en fait plus.
Ad Patres : A Brief Introduction… J’ai essayé plusieurs fois, je n’en retiens jamais rien arrivé au bout à part qu’il bourrine bien, c’est clair.
The Sisters of Mercy : Some Girls Wander by Mistake. Cela faisait presque longtemps… Au croisement du Velvet Underground et de Mötörhead ils ont trouvé un point particulier de dandysme noir inconnu jusqu’alors, notamment aussi avec les textes travaillés d’Eldritch. Cette fameuse compilation des débuts a profondément marqué mon parcours musical, quand j’y réfléchis.
Love Like Blood : An Irony of Fate. Je ne savais plus pourquoi je n’aimais pas ce groupe disparu, mais une telle contrefaçon de The Mission mérite déjà assez réprobation.
Morgoth : Odium. Voilà un album culte, avec sa production puissante et sèche. Le riffing original, les quelques effets Indus modérés mais percutants marquent toute une ambiance sarcastique et apocalyptique propre à ces huit titres, ainsi que ce brillant instrumental final comme on n’en fait plus.
Ad Patres : A Brief Introduction… J’ai essayé plusieurs fois, je n’en retiens jamais rien arrivé au bout à part qu’il bourrine bien, c’est clair.
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Carcass : Wake Up and Smell. Cette vieille compile de chutes de studios, lives radios, minis confidentiels et versions alternatives remonte la chronologie avec un intérêt inégal, selon la période préférée de l’auditeur en grande partie. Elle resta pendant très longtemps la dernière publication officielle du groupe.
Napalm Death : Apex Predator-Easy Meat. Je n'ai pas assez écouté ce disque. Il faut dire qu'il peut être éclipsé par tout ce qui précède.
Future Faces : Revolt EP. Si ces quatre titres se ressemblent assez, c’est une base de départ remarquable comme Post-Punk Shoegazy. Apparemment il y aura une suite.
Et diverses sortes des derniers mois sur lesquelles je me suis déjà exprimé.
Napalm Death : Apex Predator-Easy Meat. Je n'ai pas assez écouté ce disque. Il faut dire qu'il peut être éclipsé par tout ce qui précède.
Future Faces : Revolt EP. Si ces quatre titres se ressemblent assez, c’est une base de départ remarquable comme Post-Punk Shoegazy. Apparemment il y aura une suite.
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
AMON AMARTH - With Oden On Our Side
La recette reste la même mais passe bien l'épreuve du temps, pourvu que le groupe soit inspiré quand il compose. Et c'est le cas sur cet album de 2006.
La recette reste la même mais passe bien l'épreuve du temps, pourvu que le groupe soit inspiré quand il compose. Et c'est le cas sur cet album de 2006.
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Die Krupps : Too Much History I et II. Au terme d’une longue inactivité, ils avaient décidé de réenregistrer des vieux titres resservis en deux périodes bien distinguées en deux disques. Les classiques EBM deviennent plus propres, modernes, mais ne gagnent rien à ces effets de synthés rebattus. Les titres à guitare restent à peu près semblables (cette BAR sonne moche, quand même) Les inédits sont plus intéressants. C’est le reflet de la démarche propre au groupe de toujours revenir sur son histoire, et aussi de coller à l’évolution du public allemand à cette époque.
Criminal Element : Criminal Crime Time. Assisté de membres de Suffocation, il est curieux que cet album soit à nouveau si mal produit et interprété si poussivement, à la Jungle Rot ou Six Feet Under en petite forme (...).
The Flaying : Unhope. Un premier disque de Death classique, propre et appliqué, tendant vers le ‘core avec ce que ça implique de mélodique, sans grande originalité Mais ça partait avec un niveau que bien d’autres ne toucheront jamais.
Criminal Element : Criminal Crime Time. Assisté de membres de Suffocation, il est curieux que cet album soit à nouveau si mal produit et interprété si poussivement, à la Jungle Rot ou Six Feet Under en petite forme (...).
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Une vieille compilation du label de Jacob Bannon avec plein de groupes bien. Le genre de choses que je vais voir en concert mais que je n’écoute pas souvent à la maison.
Du Brutus, comme on en parle pas mal actuellement. Pas trop mon style non plus mais je comprends. Comme on dit chez moi (avec l’accent) y’a pas rien, là.
David Gahan : Paper Monsters. Comme il le dit très bien lui-même ce n’est pas un album transcendant mais assurément cathartique, intime et sincère, venu épancher des années de frustration à être interdit de composer pour Depeche Mode. Il en conserve une fraîcheur à toute épreuve.
Sepultura : Chaos AD. On a beau le connaître par coeur et l’avoir usé jusqu’à plus soif pendant des lustres, il fait toujours son effet quand on le ressort. Ce sont les racines Punk-HC qui marquent ce disque plutôt que les effets Indus’ prétendument inspirés de Ministry. Il montre néanmoins un son complètement Metal, massif et agressif. Toutes ces sources en font un véritable brûlot aujourd’hui érigé en classique fondamental. Il doit même passer pour le meilleur album du groupe, si on sondait le peuple. Et puis Kerry King l’a dit donc il n’y a plus de débat.
The Flaying : Angry, Undead. En connaissant le précédent on peut se rendre compte qu’ils ont fait un effort sur la basse qui se taille une vraie place. Leur Death s’est affermi, par le même mouvement, sans sacrifier complètement les mélodies.
Du Brutus, comme on en parle pas mal actuellement. Pas trop mon style non plus mais je comprends. Comme on dit chez moi (avec l’accent) y’a pas rien, là.
David Gahan : Paper Monsters. Comme il le dit très bien lui-même ce n’est pas un album transcendant mais assurément cathartique, intime et sincère, venu épancher des années de frustration à être interdit de composer pour Depeche Mode. Il en conserve une fraîcheur à toute épreuve.
Sepultura : Chaos AD. On a beau le connaître par coeur et l’avoir usé jusqu’à plus soif pendant des lustres, il fait toujours son effet quand on le ressort. Ce sont les racines Punk-HC qui marquent ce disque plutôt que les effets Indus’ prétendument inspirés de Ministry. Il montre néanmoins un son complètement Metal, massif et agressif. Toutes ces sources en font un véritable brûlot aujourd’hui érigé en classique fondamental. Il doit même passer pour le meilleur album du groupe, si on sondait le peuple. Et puis Kerry King l’a dit donc il n’y a plus de débat.
The Flaying : Angry, Undead. En connaissant le précédent on peut se rendre compte qu’ils ont fait un effort sur la basse qui se taille une vraie place. Leur Death s’est affermi, par le même mouvement, sans sacrifier complètement les mélodies.
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gabalgabow
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
ELCAM
Stoner / groove / cactus psychédélique
C'était hier soir à Douai, taverne les grès.
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C'était hier soir à Douai, taverne les grès.
Underground tape label/ webzine/ Distro:
http://nihilistic-webzine-distro.fr
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
SOFT KILL _ An Open Door : Post-Punk/New Wave, excellent album. Simple & efficace!
EXCRUCIATION _ [C]rust : Black Death Doom Metal, ce groupe Suisse que je prenais pour une pale copie de TRIPTYKON est en fait bien plus intéressant que ça. Je découvre leur discographie avec leur 3 derniers albums et c'est un groupe vraiment prenant une fois l'obstacle de la voix levé.
PROCESSION _ To Reap Heavens Apart : Epic Doom Metal : là aussi je découvre leur discographie même si je connais depuis très longtemps certains albums, c'est pas très original mais la facilité à pondre des mélodies est remarquable, la chanson titre est assez remarquable !
EXCRUCIATION _ [C]rust : Black Death Doom Metal, ce groupe Suisse que je prenais pour une pale copie de TRIPTYKON est en fait bien plus intéressant que ça. Je découvre leur discographie avec leur 3 derniers albums et c'est un groupe vraiment prenant une fois l'obstacle de la voix levé.
PROCESSION _ To Reap Heavens Apart : Epic Doom Metal : là aussi je découvre leur discographie même si je connais depuis très longtemps certains albums, c'est pas très original mais la facilité à pondre des mélodies est remarquable, la chanson titre est assez remarquable !
All is well that ends in hell
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Morgoth : Feel Sorry for the Fanatic. Finir en faisant un disque parodiant Killing Joke (qui revenait tout récemment à l’époque), c’était sacrément risqué. Non seulement les morceaux sont très réussis, la pochette aussi, mais les paroles sont d’un cynisme qui s’est révélé prophétique dix ans plus tard avec la crise financière. Ce groupe est resté longtemps pour moi un exemple de carrière brève et totalement réussie artistiquement.
The Sisters of Mercy : First and Last and Always. La synergie entre tous les membres d’alors en a fait un classique absolu. Chacun a ses morceaux préférés, moi c’est devenu de plus en plus difficile car les titres que j’aimais moins dans les premières années se sont peu à peu révélés aussi. Mes penchants mélancoliques s’épanchent mieux là que dans le Doom, y compris dans ces textes exigeants et cyniques et cette esthétique délibérément opaque.
Carcass : Choice Cuts. La partie best of n’apporte rien au vieux fan. Les Peel Sessions sont gluantes et putrides comme on l’aime.
Die Krupps : Volle Kraft Null Acht. Une compilation officielle et approuvée de remixes du deuxième album, vingt-cinq ans plus tard, par divers groupes plus ou moins importants de la scène EBM, Electro Pop ou Dark. C’est là que je vois combien mes goûts se sont figés sur l’old-school, ou que la génération plus récente qui était à la mode ces années-là était surtout vraiment merdique, tout simplement.
Diverses acquisitions Death Metal des derniers mois. Le Beyond Creation est tellement brillant et connecté à l’air du temps que ça sera quitte ou double : soit il sera érigé en grand classique soit il va très mal vieillir. Le Mass Infection, en risquant un virage vers des terrains plus obscurs, se révèle énorme au fil du temps.
The Sisters of Mercy : First and Last and Always. La synergie entre tous les membres d’alors en a fait un classique absolu. Chacun a ses morceaux préférés, moi c’est devenu de plus en plus difficile car les titres que j’aimais moins dans les premières années se sont peu à peu révélés aussi. Mes penchants mélancoliques s’épanchent mieux là que dans le Doom, y compris dans ces textes exigeants et cyniques et cette esthétique délibérément opaque.
Carcass : Choice Cuts. La partie best of n’apporte rien au vieux fan. Les Peel Sessions sont gluantes et putrides comme on l’aime.
Die Krupps : Volle Kraft Null Acht. Une compilation officielle et approuvée de remixes du deuxième album, vingt-cinq ans plus tard, par divers groupes plus ou moins importants de la scène EBM, Electro Pop ou Dark. C’est là que je vois combien mes goûts se sont figés sur l’old-school, ou que la génération plus récente qui était à la mode ces années-là était surtout vraiment merdique, tout simplement.
Diverses acquisitions Death Metal des derniers mois. Le Beyond Creation est tellement brillant et connecté à l’air du temps que ça sera quitte ou double : soit il sera érigé en grand classique soit il va très mal vieillir. Le Mass Infection, en risquant un virage vers des terrains plus obscurs, se révèle énorme au fil du temps.
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Sur la route des expertises à la campagne :
David Gahan : Hourglass. Quel dommage qu’il n’aie pas tourné pour le promouvoir ! Cet album très sincère, très Electro limite Indus et forcément un peu Rock bat clairement les trois Depeche Mode suivants, il est magnifique.
Dysmorphic : An Illusive Progress. Ce que j’aime chez les jeunes groupes de Death technique, c’est qu’ils conservent encore l’impulsivité et les imperfections qui accrochent et attachent l’auditeur, que les groupes plus chevronnés finissent bien souvent par perdre.
Sepultura : Roots. Maintenant il est devenu de bon ton de conchier ce disque, parce que les vieux fans en vestes cuir sont toujours là, tandis que le public Néo ouvertement dragué par ce disque a disparu aujourd’hui. Sa lourdeur était pourtant visionnaire, les rythmes tribaux poussaient des idées intéressantes en plus d’une esthétique assez originale mais cohérente. Certains hurlent encore au nom de Ross Robinson, alors qu’il a su faire le sorcier de studio et laisser là l’une de ses meilleures collaborations.
Deprecated : Deriding His Creation. Quatre titres enregistrés en deux fois à une quinzaine d’années d’écart… C’est tout ce qui reste de ce projet rassemblant virtuellement des gens de Suffocation, Decrepit Birth et Disgorge. Brutal, gras et un peu technique quand même, c’est du Death barbare Américain comme je l’aime.
David Gahan : Hourglass. Quel dommage qu’il n’aie pas tourné pour le promouvoir ! Cet album très sincère, très Electro limite Indus et forcément un peu Rock bat clairement les trois Depeche Mode suivants, il est magnifique.
Dysmorphic : An Illusive Progress. Ce que j’aime chez les jeunes groupes de Death technique, c’est qu’ils conservent encore l’impulsivité et les imperfections qui accrochent et attachent l’auditeur, que les groupes plus chevronnés finissent bien souvent par perdre.
Sepultura : Roots. Maintenant il est devenu de bon ton de conchier ce disque, parce que les vieux fans en vestes cuir sont toujours là, tandis que le public Néo ouvertement dragué par ce disque a disparu aujourd’hui. Sa lourdeur était pourtant visionnaire, les rythmes tribaux poussaient des idées intéressantes en plus d’une esthétique assez originale mais cohérente. Certains hurlent encore au nom de Ross Robinson, alors qu’il a su faire le sorcier de studio et laisser là l’une de ses meilleures collaborations.
Deprecated : Deriding His Creation. Quatre titres enregistrés en deux fois à une quinzaine d’années d’écart… C’est tout ce qui reste de ce projet rassemblant virtuellement des gens de Suffocation, Decrepit Birth et Disgorge. Brutal, gras et un peu technique quand même, c’est du Death barbare Américain comme je l’aime.
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Jefflonger
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- Inscription : 08 déc. 2016, 17:35
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
BOLT THROWER - après honour valour pride, j'enchaine avec For Victory, sans doute mon préféré qui détrône petit à petit warmaster dans mes gouts.
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
SHADOW AGE _ The Fall & Shadow Age : ce groupe de Post-Punk américain est vraiment plus qu'intéressant. L'achat des vinyls est en vue !
All is well that ends in hell
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Carcass : Surgical Steel. Pour une fois, ce disque tant rêvé de tous était conforme à ce que je prévoyais et à ce que j’espérais en qualité. Ils avaient eu le temps d’épancher ailleurs toutes leurs pulsions incompatibles. En plus les paroles sont pleines d’humour anglais.
Martin Gore : Counterfeit EP. Réalisé entre deux des plus fameux albums de Depeche Mode, ces quelques reprises sont excellentes et il parvint à en tirer un ensemble sans les passer à l’essoreuse, à esquisser un petit univers en amont d’un groupe qui captait déjà l’attention générale pour repousser ses limites d’une publication à l’autre.
Un parcours des nouveautés Metal à mon retour de congés. Vltimas dépasse fatalement le reste, mais ne partait pas avec les arguments de n’importe qui d’autre.
The Sisters of Mercy : Floodland. Abandonné seul à bord, Eldritch créa pour sa revanche définitive une oeuvre assez différente de par son orientation symphonique inattendue (ayant abordé la discographie chronologiquement je peux imaginer à l’aise les réactions rapportées par l’Histoire). Les titres directs et inoubliables alternent avec d’autres plus raffinés, en accord avec une écriture plus recherchée et bien souvent loin des clichés du Rock Gothique. Cet album racé en forme pourtant au final un classique intemporel, surpassant un pari difficile.
Martin Gore : Counterfeit EP. Réalisé entre deux des plus fameux albums de Depeche Mode, ces quelques reprises sont excellentes et il parvint à en tirer un ensemble sans les passer à l’essoreuse, à esquisser un petit univers en amont d’un groupe qui captait déjà l’attention générale pour repousser ses limites d’une publication à l’autre.
Un parcours des nouveautés Metal à mon retour de congés. Vltimas dépasse fatalement le reste, mais ne partait pas avec les arguments de n’importe qui d’autre.
The Sisters of Mercy : Floodland. Abandonné seul à bord, Eldritch créa pour sa revanche définitive une oeuvre assez différente de par son orientation symphonique inattendue (ayant abordé la discographie chronologiquement je peux imaginer à l’aise les réactions rapportées par l’Histoire). Les titres directs et inoubliables alternent avec d’autres plus raffinés, en accord avec une écriture plus recherchée et bien souvent loin des clichés du Rock Gothique. Cet album racé en forme pourtant au final un classique intemporel, surpassant un pari difficile.
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
RBD a écrit :Sepultura : Roots. Maintenant il est devenu de bon ton de conchier ce disque, parce que les vieux fans en vestes cuir sont toujours là, tandis que le public Néo ouvertement dragué par ce disque a disparu aujourd’hui. Sa lourdeur était pourtant visionnaire, les rythmes tribaux poussaient des idées intéressantes en plus d’une esthétique assez originale mais cohérente. Certains hurlent encore au nom de Ross Robinson, alors qu’il a su faire le sorcier de studio et laisser là l’une de ses meilleures collaborations.
Je ne sais pas si tu dis vrai. Dans mon cas j'avais détesté l'album à sa sortie hormis Roots bloody roots, et le battage médiatique n'avait pas arrangé les choses. J'ai mis quasiment 15 ans à le réhabiliter mais maintenant je l'écoute plus que ses prédécesseurs. J'ai donc plutôt tendance à penser qu'il clive moins qu'avant.
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Tant mieux pour toi.
Du Kirlian Camera. Le duo Milanais est une véritable institution qui a navigué durant plusieurs décennies entre DarkWave atmosphérique et Future Pop, porté par la voix et le charisme sensuel d’Elena Fossi. L’esthétique y a son importance entre onirisme, folklore SM mais glamour, et catholicisme identitaire bien de chez eux. La discographie est pléthorique et même si je n’écouterais pas ça à longueur de temps il y a quelques excellentes mélodies qui charpentent et sauvent un son fort éthéré.
Morgoth : les deux CDs audio bonus du DVD Cursed to Live. Il y en a un de trop, c'est le même répertoire dans deux ordres différents avec juste un son un peu plus râpeux pour l'un.
Die Krupps : Als wären wir für immer. Un mini pour ouvrir la reformation avec des inédits timides, des remixes et une reprise, si l’on peut dire, de Propaganda. Assez anecdotique.
Martin Gore : Counterfeit 2. Quatorze ans plus tard, c’est un album complet de reprises qui était cette fois proposé. La sélection est pas mal et conforme à des influences connues du maître, mais le feeling lounge shamallow du DM de cette époque plombe la copie rendue. C’est une invitation à la sieste, par rapport à l’EP. Un comble ! Il pourra toujours servir pour parer la sieste… Comparer le “Loverman” avec celui de MetallicA est amusant, à la marge.
Du VR Sex. C’est un trio avec l’homme derrière Drab Majesty, notamment. Dans un esprit Batcave on y mélange Synth Punk, Post-Punk et un peu d’Atmosphérique.
Du Kirlian Camera. Le duo Milanais est une véritable institution qui a navigué durant plusieurs décennies entre DarkWave atmosphérique et Future Pop, porté par la voix et le charisme sensuel d’Elena Fossi. L’esthétique y a son importance entre onirisme, folklore SM mais glamour, et catholicisme identitaire bien de chez eux. La discographie est pléthorique et même si je n’écouterais pas ça à longueur de temps il y a quelques excellentes mélodies qui charpentent et sauvent un son fort éthéré.
Morgoth : les deux CDs audio bonus du DVD Cursed to Live. Il y en a un de trop, c'est le même répertoire dans deux ordres différents avec juste un son un peu plus râpeux pour l'un.
Die Krupps : Als wären wir für immer. Un mini pour ouvrir la reformation avec des inédits timides, des remixes et une reprise, si l’on peut dire, de Propaganda. Assez anecdotique.
Martin Gore : Counterfeit 2. Quatorze ans plus tard, c’est un album complet de reprises qui était cette fois proposé. La sélection est pas mal et conforme à des influences connues du maître, mais le feeling lounge shamallow du DM de cette époque plombe la copie rendue. C’est une invitation à la sieste, par rapport à l’EP. Un comble ! Il pourra toujours servir pour parer la sieste… Comparer le “Loverman” avec celui de MetallicA est amusant, à la marge.
Du VR Sex. C’est un trio avec l’homme derrière Drab Majesty, notamment. Dans un esprit Batcave on y mélange Synth Punk, Post-Punk et un peu d’Atmosphérique.
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Carcass : Surgical Remission / Surplus Steel. L’EP dans le droit fil du dernier album.
Siege of Power : Warning Blast. La suite de Hail of Bullets prend une direction sensiblement différente, plus Punky mais pas excessivement crade, avec Chris Reifert au chant, et j’aime bien.
Young Gods : Data mirage tangram. Je rapiège mais il est sublime, le trip total, probablement le meilleur depuis 'Only Heaven’ c'est dire.
Et un projet assez à la marge de mes goûts habituels dont je reparlerai prochainement puisque j'ai décidé d'investir.
Siege of Power : Warning Blast. La suite de Hail of Bullets prend une direction sensiblement différente, plus Punky mais pas excessivement crade, avec Chris Reifert au chant, et j’aime bien.
Young Gods : Data mirage tangram. Je rapiège mais il est sublime, le trip total, probablement le meilleur depuis 'Only Heaven’ c'est dire.
Et un projet assez à la marge de mes goûts habituels dont je reparlerai prochainement puisque j'ai décidé d'investir.
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"Là où les recrues se mettent à rire, les soldats éprouvés sont graves."
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
MASS HYSTERIA _ Une Somme De Détails : je reste bloqué sur Contraddiction qui est pour moi leur point d'orgue mais j'ai eu envie de comprendre pourquoi ce disque m'avait reconverti à leur musique et des années plus tard je trouve toujours cela efficace même si encore un peu en mode "facile" sur certains titres.
GRAVE _ Soulless : c'est pas l'album que j'écoute le plus souvent de ce groupe, mais ça passe toujours bien... je préfère tout de même Into The Grave et You'll Never See... mais cet album se défend toujours aussi bien
JOY DIVISION _ Closer : inutile de dire pourquoi, c'est un monstre cet album !
MOTÖRHEAD _ Overnight Sensation : J'aime beaucoup ces albums de la deuxième moitié des années 90, on retrouve une efficacité avec quand même quelques prises de risques dont ce "I Don't Believe A Word" que j'adore vraiment et un "Shake The World" bien rampant.
GRAVE _ Soulless : c'est pas l'album que j'écoute le plus souvent de ce groupe, mais ça passe toujours bien... je préfère tout de même Into The Grave et You'll Never See... mais cet album se défend toujours aussi bien
JOY DIVISION _ Closer : inutile de dire pourquoi, c'est un monstre cet album !
MOTÖRHEAD _ Overnight Sensation : J'aime beaucoup ces albums de la deuxième moitié des années 90, on retrouve une efficacité avec quand même quelques prises de risques dont ce "I Don't Believe A Word" que j'adore vraiment et un "Shake The World" bien rampant.
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Jus de cadavre
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
SLAYEEEEEEEEER - Show no Mercy
Genre. La tuerie éternelle.
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"If you want a picture of the future, imagine a boot stamping on a human face, forever."
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
@Simony : perso j'ai toujours eu du mal avec Mass Hysteria mais L'Armée Des Ombres et Matière Noire m'ont vraiment botté grave. Le p'tit dernier en date tarde à se faire apprécier par contre...
Sinon de mon côté :
MOLYBARON - Molybaron : une sorte de Metal moderne, bluesy et "mainstream" dans le bon sens du terme. Un album qui regorge de mélodies et riffs vraiment chiadés et inspirés avec une ligne de chant au top. Une belle révélation pour moi !
SUNN O))) - Life Metal : Génie ou imposture ?
Sinon de mon côté :
MOLYBARON - Molybaron : une sorte de Metal moderne, bluesy et "mainstream" dans le bon sens du terme. Un album qui regorge de mélodies et riffs vraiment chiadés et inspirés avec une ligne de chant au top. Une belle révélation pour moi !
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Jefflonger
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Pungent Stench : Smut kingdom
Un retour réussi (à mon avis) et du groove
Un retour réussi (à mon avis) et du groove
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Sepultura : Blood-Rooted. La compile mercantile de Roadrunner typique, avec ses inédits, ses démos et ses lives en brochette. Mais on y trouve toujours son compte aussi, c’est pour cela qu’ils le mettent sur le marché.
Deviant Process : Paroxysm. J’y reviens souvent en fait, depuis deux ans bientôt. Ils ont repris le flambeau du meilleur Neuraxis : du Death technique à la Québécoise qui n’oublie pas de bourriner, d’être un peu agressif.
Mantas : Death by Metal. Ce sont bien les trois démos formant l’intégrale des méfaits de la première incarnation de Death. C’est toujours la même poignée de titres joués par des gamins, mais y’a une rage rigolarde peu commune qui s’en exhale et quelques riffs assez goûtus déjà.
Les trois premiers albums de Camerata Mediolanense, du temps de leur première période d’activité. Servir des disques bonus qui auraient pu rentrer sur le principal pour justifier de belles grosses éditions peut faire sourire. Musicalement c’est du néoclassique assez varié, en musique de chambre et non pas symphonique pompeux, avec des emprunts fréquents d’instruments plus Folk. Tout ça est assez conceptuel parfois (surtout le troisième, uniquement des reprises et adaptations de textes), mais s’enracine dans un esthétisme et des thèmes Néofolk très nostalgiques qui les rattachent définitivement à la mouvance gothique darkwave telle qu’on la concevait vers les origines. Sur un registre différent cela est plus intéressant que de faire du sous Dead Can Dance.
Deviant Process : Paroxysm. J’y reviens souvent en fait, depuis deux ans bientôt. Ils ont repris le flambeau du meilleur Neuraxis : du Death technique à la Québécoise qui n’oublie pas de bourriner, d’être un peu agressif.
Mantas : Death by Metal. Ce sont bien les trois démos formant l’intégrale des méfaits de la première incarnation de Death. C’est toujours la même poignée de titres joués par des gamins, mais y’a une rage rigolarde peu commune qui s’en exhale et quelques riffs assez goûtus déjà.
Les trois premiers albums de Camerata Mediolanense, du temps de leur première période d’activité. Servir des disques bonus qui auraient pu rentrer sur le principal pour justifier de belles grosses éditions peut faire sourire. Musicalement c’est du néoclassique assez varié, en musique de chambre et non pas symphonique pompeux, avec des emprunts fréquents d’instruments plus Folk. Tout ça est assez conceptuel parfois (surtout le troisième, uniquement des reprises et adaptations de textes), mais s’enracine dans un esthétisme et des thèmes Néofolk très nostalgiques qui les rattachent définitivement à la mouvance gothique darkwave telle qu’on la concevait vers les origines. Sur un registre différent cela est plus intéressant que de faire du sous Dead Can Dance.
http://rbdlivereports.blogspot.fr/
"Verdades se descubren, mentiras se construyen".
"Là où les recrues se mettent à rire, les soldats éprouvés sont graves."
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
SHAPE OF DESPAIR _ Monotony Fields : c'est Funeral mais c'est également très beau et bien foutu, on est loin des albums de Funeral Doom chiant à mourir comme il en sort 10 par mois !
NORNES _ Vanity : excellent premier EP de ces français à suivre, talents en vue !
QUEEN _ Innuendo : l'impact GUNS N' ROSES a été plus important que ce que je pensais sur Brian May avec des titres comme "Headlong" ou "The Hitman"... enfin bref, je reste très impressionné par cet album même si ma préférence a toujours été pour leurs débuts, celui-ci est vraiment magique.
NORNES _ Vanity : excellent premier EP de ces français à suivre, talents en vue !
QUEEN _ Innuendo : l'impact GUNS N' ROSES a été plus important que ce que je pensais sur Brian May avec des titres comme "Headlong" ou "The Hitman"... enfin bref, je reste très impressionné par cet album même si ma préférence a toujours été pour leurs débuts, celui-ci est vraiment magique.
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Un live de Muse à Las Vegas en 2017. Mon unique expérience de Muse en concert remonte à quinze ans d’ici (!!) et je mesure la différence. C’est un show colossal qui a l’intérêt de bien illustrer l’évolution globale de la scène Rock, depuis lors, vers le symphonique et les synthétiseurs. Les prix m’ont fait reculer à chaque opportunité de les revoir, non sans une pointe de regret vite digérée, mais je m’estime très chanceux de les avoir vus à une époque où c’était plus sombre et plus direct, avec déjà le grand spectacle.
Die Krupps : The Machinists of Joy. Qu’est-ce qu’il m’avait fait plaisir ! Les patrons étaient vraiment de retour désormais. C’est de l’EBM de cochon, avec ses lichettes de guitare en appui et son efficacité maîtrisée assumée autant que les clichés, avec un peu plus de kitch minimal vers la fin, tout ce qu’il fallait.
Camerata Mediolanense : Vertute, Honor, Belleza. Cet album de reformation met en musique douze textes de Pétrarque. Elena Previdi se lâchait après des années de préparation, offrant son oeuvre la plus créative et surtout assumant enfin purement ses amours Dark Wave avec même un peu d’Electro quasi pure. Il ne peut pas plaire à tout le monde, mais je ne comprends vraiment pas comment on puisse trouver ça plat et monotone. D’autant que c’est une brillante compositrice, assise sur une formation classique peu courante dans ma discothèque.
Napalm Death : Coded Smears and More Uncommon Slurs. Des reprises et des inédits mais c’est aussi bonnard que d’habitude, avec deux disques pour le prix d’un.
Die Krupps : The Machinists of Joy. Qu’est-ce qu’il m’avait fait plaisir ! Les patrons étaient vraiment de retour désormais. C’est de l’EBM de cochon, avec ses lichettes de guitare en appui et son efficacité maîtrisée assumée autant que les clichés, avec un peu plus de kitch minimal vers la fin, tout ce qu’il fallait.
Camerata Mediolanense : Vertute, Honor, Belleza. Cet album de reformation met en musique douze textes de Pétrarque. Elena Previdi se lâchait après des années de préparation, offrant son oeuvre la plus créative et surtout assumant enfin purement ses amours Dark Wave avec même un peu d’Electro quasi pure. Il ne peut pas plaire à tout le monde, mais je ne comprends vraiment pas comment on puisse trouver ça plat et monotone. D’autant que c’est une brillante compositrice, assise sur une formation classique peu courante dans ma discothèque.
Napalm Death : Coded Smears and More Uncommon Slurs. Des reprises et des inédits mais c’est aussi bonnard que d’habitude, avec deux disques pour le prix d’un.
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"Verdades se descubren, mentiras se construyen".
"Là où les recrues se mettent à rire, les soldats éprouvés sont graves."
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Abnormality : Sociopathic Constructs. Pas de surprises, y’a même l’interlude au cap de la grosse moitié d’album comme d’habitude. C’est encore du gros Death brutal efficace et sans effets excessifs faussement originaux, ce qui le rend assez léger et accessible en plus d’être bien fichu. Il est plus direct encore que le précédent et techniquement maîtrisé. La progression s’est faite impeccablement vers ce troisième opus qui passera sans doute les années sans peine. Si la seule vraie singularité serait d’avoir une growleuse, je crois que les Bostoniens mettront tout les amateurs d’accord.
Camerata Mediolanense : Le Vergini Folli. Revenu à la sobriété du piano nanti d’excellents chanteurs, ce dernier album met en musique des vers d’amour de poétesses italiennes romantiques de seconde importance plus deux nouveaux extraits de Pétrarque, en recourant aux harmonies tonales. Un truc aussi passéiste et sentimental a quelque chose de très gothique à l’ancienne, dans l’esprit.
Morgoth : Ungod. L’album de la reformation intégrait le chanteur de Disbelief comme remplaçant idéal. Mais le résultat déçoit plutôt, c’est du Death old-school qui n’a plus le versant Doomy des débuts ni l’originalité d’”Odium”. Venant d’un groupe de cette stature c’était dommage, on attendait mieux que du potable.
The Sisters of Mercy : Vision Thing. Il a quelques bons moments mais se contentait d’offrir du Rock Metal dandyesque plus tellement déprimé. Avec un nom associé à de rares chefs-d’oeuvre, ça passait mal. On comprend alors pourquoi rien n’a suivi depuis bientôt trente ans, le chef désirant avant tout rester une icône.
Et divers trucs à une soirée avec des gens qui préparaient leur Hellfest : King Diamond, Slayer, Carpathian Forest, Acid King, Myrkur, Skald, Lineurd Skineurd, Sham 69 et j’en oublie...
Camerata Mediolanense : Le Vergini Folli. Revenu à la sobriété du piano nanti d’excellents chanteurs, ce dernier album met en musique des vers d’amour de poétesses italiennes romantiques de seconde importance plus deux nouveaux extraits de Pétrarque, en recourant aux harmonies tonales. Un truc aussi passéiste et sentimental a quelque chose de très gothique à l’ancienne, dans l’esprit.
Morgoth : Ungod. L’album de la reformation intégrait le chanteur de Disbelief comme remplaçant idéal. Mais le résultat déçoit plutôt, c’est du Death old-school qui n’a plus le versant Doomy des débuts ni l’originalité d’”Odium”. Venant d’un groupe de cette stature c’était dommage, on attendait mieux que du potable.
The Sisters of Mercy : Vision Thing. Il a quelques bons moments mais se contentait d’offrir du Rock Metal dandyesque plus tellement déprimé. Avec un nom associé à de rares chefs-d’oeuvre, ça passait mal. On comprend alors pourquoi rien n’a suivi depuis bientôt trente ans, le chef désirant avant tout rester une icône.
Et divers trucs à une soirée avec des gens qui préparaient leur Hellfest : King Diamond, Slayer, Carpathian Forest, Acid King, Myrkur, Skald, Lineurd Skineurd, Sham 69 et j’en oublie...
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
"The Sisters of Mercy : Vision Thing. Il a quelques bons moments mais se contentait d’offrir du Rock Metal dandyesque plus tellement déprimé. Avec un nom associé à de rares chefs-d’oeuvre, ça passait mal. On comprend alors pourquoi rien n’a suivi depuis bientôt trente ans, le chef désirant avant tout rester une icône."
Je partage totalement cet avis, album bien en dessous de ce que le groupe a pu produire...
Je partage totalement cet avis, album bien en dessous de ce que le groupe a pu produire...
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Jus de cadavre
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
MASSACRE - From Beyond
Excellent Death Metal Floridiens. J'adore la prod bien d'époque !
Excellent Death Metal Floridiens. J'adore la prod bien d'époque !
"If you want a picture of the future, imagine a boot stamping on a human face, forever."
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Soilent Green : A String of Lies. En douze minutes, c’était déjà complètement posé.
Sepultura : Under a Pale Grey Sky. Le double live à Brixton du tout dernier concert au terme duquel Max s’est fait virer, publication mercantile de Roadrunner sans l’accord du groupe retravaillée par Colin Richardson qui au moins aura ajouté Sepultura à son tableau à cette occasion. C’est indélicat, et pourtant l’apprécie qu’il y ait un live de cette époque-là. Le label savait que je ne serais pas le seul à le penser.
Septycal Gorge : Growing Seeds of Decay. Certains soirs, une dose de Death Brutal c’est vital ! En plus les compos sont claires.
Sepultura : Under a Pale Grey Sky. Le double live à Brixton du tout dernier concert au terme duquel Max s’est fait virer, publication mercantile de Roadrunner sans l’accord du groupe retravaillée par Colin Richardson qui au moins aura ajouté Sepultura à son tableau à cette occasion. C’est indélicat, et pourtant l’apprécie qu’il y ait un live de cette époque-là. Le label savait que je ne serais pas le seul à le penser.
Septycal Gorge : Growing Seeds of Decay. Certains soirs, une dose de Death Brutal c’est vital ! En plus les compos sont claires.
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
@ RBD : concernant MUSE, je suis totalement d'accord. Vu aussi en automne 2006 à Bercy pour la tournée Black Holes And Revelations c'était déjà du grand spectacle, mais ça restait encore direct... Maintenant, même si je suis bien content du succès qu'ils récoltent, ça ne me dis plus rien d'aller les voir, d'autant que la direction musicale prise ne me parle plus.
Sinon, de mon côté :
RAMMSTEIN - Rammstein : un très très bon cru pour moi. 4 tubes sur les 4 premiers titres (mention spéciale pour "Auslander" qui va faire un malheur en live!) et un Till Lindemann magistral (ce "Puppe" nom de Dieu !!!).
PRIMORDIAL - To The Nameless God : je n'avais jamais eu l'occaze de me pencher sur ce groupe malgré les propos élogieux que j'en entendais. C'est chose faite, et c'est plutôt pas mal, effectivement.
I - Between Two Worlds : la première incarnation solo d'Abbath. J'y ai jeté une oreille après mention faite par M. Jus de Cadavre, et j'apprécie beaucoup plus que ce qu'il peut proposer actuellement. Mention spécial pour "Far Beyond".
Sinon, de mon côté :
RAMMSTEIN - Rammstein : un très très bon cru pour moi. 4 tubes sur les 4 premiers titres (mention spéciale pour "Auslander" qui va faire un malheur en live!) et un Till Lindemann magistral (ce "Puppe" nom de Dieu !!!).
PRIMORDIAL - To The Nameless God : je n'avais jamais eu l'occaze de me pencher sur ce groupe malgré les propos élogieux que j'en entendais. C'est chose faite, et c'est plutôt pas mal, effectivement.
I - Between Two Worlds : la première incarnation solo d'Abbath. J'y ai jeté une oreille après mention faite par M. Jus de Cadavre, et j'apprécie beaucoup plus que ce qu'il peut proposer actuellement. Mention spécial pour "Far Beyond".
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Septycal Gorge : Erase the Insignificant. Je vous le mets bien charnu, je sais que vous aimez. C’est lourd sous la luette mais vous y reviendrez je vous connais.
Death : Démos et live rares. Le son est gravement pourri sur certains extraits, mais les compositions sont éternelles.
The Sisters of Mercy : A Slight Case of Overbombing Vol. 1. Une compile officielle d’intérêt inégal, entre des raretés importantes, des versions alternatives sublimées ou plombées, des doublons purs et simples.
Misery Index : Overthrow EP. Bâm ! Je l’avais abordé tout triste d’un schisme dans Dying Fetus, et puis voilà la réponse. Kevin Talley s’y montre souverain et transcende la férocité des trois collègues.
Un live de Deep Purple. Je réessaye mais je n’ai jamais apprécié ce groupe autant que le Zeppelin ou le Sab’. C’est comme ça...
Death : Démos et live rares. Le son est gravement pourri sur certains extraits, mais les compositions sont éternelles.
The Sisters of Mercy : A Slight Case of Overbombing Vol. 1. Une compile officielle d’intérêt inégal, entre des raretés importantes, des versions alternatives sublimées ou plombées, des doublons purs et simples.
Misery Index : Overthrow EP. Bâm ! Je l’avais abordé tout triste d’un schisme dans Dying Fetus, et puis voilà la réponse. Kevin Talley s’y montre souverain et transcende la férocité des trois collègues.
Un live de Deep Purple. Je réessaye mais je n’ai jamais apprécié ce groupe autant que le Zeppelin ou le Sab’. C’est comme ça...
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Soilent Green : Sewn Mouth Secrets. Les compos appartiennent à un monde bien camé non euclidien, entre Stoner-Sludge et Grindcore. Le juste équilibre était trouvé entre groove, agressivité et originalité.
Die Krupps : Live Im Schatten den Ringe. Ce double live est lourdement consacré à l’album qui le précédait mais ce n’est pas moi qui m’en plaindrai.
Camerata Mediolanense. La majorité du répertoire est formée de mises en musiques de poèmes anciens ou de reprises de chansons traditionnelles, mais ça fait une oeuvre variée de haute qualité. Maintenant que je m’y plonge pour de bon c’est un petit régal dans un territoire que je parcours rarement.
Nocturnus : Thresholds. Plutôt que de dire que cet album avait vingt ans d’avance, il faut plutôt souligner que sous ses airs de classique discret de troisième rang il a acquis une lourde influence. Même moi qui n’aime pas trop, je reconnais qu’il sonne contemporain alors qu’il passait pour avoir vite vieilli sous l’effet de la crise du style et la disparition du groupe concomitante à la fin des années 90. Le temps est le vrai justicier dans le Death Metal.
Die Krupps : Live Im Schatten den Ringe. Ce double live est lourdement consacré à l’album qui le précédait mais ce n’est pas moi qui m’en plaindrai.
Camerata Mediolanense. La majorité du répertoire est formée de mises en musiques de poèmes anciens ou de reprises de chansons traditionnelles, mais ça fait une oeuvre variée de haute qualité. Maintenant que je m’y plonge pour de bon c’est un petit régal dans un territoire que je parcours rarement.
Nocturnus : Thresholds. Plutôt que de dire que cet album avait vingt ans d’avance, il faut plutôt souligner que sous ses airs de classique discret de troisième rang il a acquis une lourde influence. Même moi qui n’aime pas trop, je reconnais qu’il sonne contemporain alors qu’il passait pour avoir vite vieilli sous l’effet de la crise du style et la disparition du groupe concomitante à la fin des années 90. Le temps est le vrai justicier dans le Death Metal.
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Jus de cadavre
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
SLAYER - Haunting the chapel
Chemical Warfare, ne serait il pas le plus grand morceau de Slayer ? Hum... Après Tormentor et Angel Of Death, je dirais que si !
Pressé de les voir au Hell en vrai...
Chemical Warfare, ne serait il pas le plus grand morceau de Slayer ? Hum... Après Tormentor et Angel Of Death, je dirais que si !
Pressé de les voir au Hell en vrai...
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Septycal Gorge : Scourge of the Formless Breed. La maturité de l’écriture se poursuivait et s’alliait au retour à un plan de présentation de l’album réfléchi, comme sur le premier essai. Avec un thème, c’était d’autant plus opportun. Brutalité maîtrisée et riffs lourds s’emmanchent mieux que jamais dans leur carrière encore courte, sans pâtir des changements de personnel. On aimerait une suite, maintenant.
Opeth : Garden of the Titans DVD. Il a fallu plus de six mois après l’achat pour me motiver à le regarder tellement c’est devenu compliqué avec Opeth. Le Red Rocks Amphitheatre est un site magnifique où se sont produits un paquet de stars. Sur le show, rien de bien neuf. Akerfeldt a toujours son humour pince sans-rire et Mendez son charisme si inattendu de bassiste muet. Le programme mêle vieux titres Death-Prog et répertoire Rock-Prog plus récent, aux structures très différentes. Contrairement au début du virage et à la dernière fois que je les avais vus, le patron accepte à nouveau de growler et semble même prendre encore un peu de plaisir à jouer ces morceaux. Cela joue vraiment bien évidemment, malgré l’effet frigorifiant du vent sur la scène à mesure que le temps passe… Le show est orné par des projections qu’il n’y avait pas à l’époque. Reste toujours mon imperméabilité au nouveau style qui obère pas mal le profit du spectacle et me rappelle mes prises de tête autant à la suite de mon ultime rencontre live d’Opeth (2011 quand même), qu’au moment des pires sorties de MetallicA.
Sepultura : Against. Ce n’est pas un disque sans intérêt, mais il était trop différent du précédent et en premier lieu par la production Punk-HC sur les titres bourrins.
The Chameleons : The Fans and the Bellows. Passons la frustration de les avoir loupés l’autre soir à Paris quand ils jouaient la veille de Dead can Dance. Cette compilation évoque les premières années, on y retrouve curieusement à la production Steve Lillywhite… et Colin Richardson qui n’avait pas encore croisé Napalm Death. Plusieurs morceaux majeurs apparaissent déjà, le style aérien et mélancolique de mélodies entrecroisées est en place.
Et divers trucs récents en Death Metal parfois sympas (Ophidius l’instrumental par exemple) sans m’emballer complètement...
Opeth : Garden of the Titans DVD. Il a fallu plus de six mois après l’achat pour me motiver à le regarder tellement c’est devenu compliqué avec Opeth. Le Red Rocks Amphitheatre est un site magnifique où se sont produits un paquet de stars. Sur le show, rien de bien neuf. Akerfeldt a toujours son humour pince sans-rire et Mendez son charisme si inattendu de bassiste muet. Le programme mêle vieux titres Death-Prog et répertoire Rock-Prog plus récent, aux structures très différentes. Contrairement au début du virage et à la dernière fois que je les avais vus, le patron accepte à nouveau de growler et semble même prendre encore un peu de plaisir à jouer ces morceaux. Cela joue vraiment bien évidemment, malgré l’effet frigorifiant du vent sur la scène à mesure que le temps passe… Le show est orné par des projections qu’il n’y avait pas à l’époque. Reste toujours mon imperméabilité au nouveau style qui obère pas mal le profit du spectacle et me rappelle mes prises de tête autant à la suite de mon ultime rencontre live d’Opeth (2011 quand même), qu’au moment des pires sorties de MetallicA.
Sepultura : Against. Ce n’est pas un disque sans intérêt, mais il était trop différent du précédent et en premier lieu par la production Punk-HC sur les titres bourrins.
The Chameleons : The Fans and the Bellows. Passons la frustration de les avoir loupés l’autre soir à Paris quand ils jouaient la veille de Dead can Dance. Cette compilation évoque les premières années, on y retrouve curieusement à la production Steve Lillywhite… et Colin Richardson qui n’avait pas encore croisé Napalm Death. Plusieurs morceaux majeurs apparaissent déjà, le style aérien et mélancolique de mélodies entrecroisées est en place.
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Death : Scream Bloody Gore. Avec le temps le nom de Possessed finit par s’imposer comme premier fondateur du genre (d’autant qu’ils ont l’avantage de s’être reformés…). Mais à mes oreilles Death a apporté une lourdeur décisive, le gras constitutif du bon old-school. Et en tout cas cela reste un album primairement jouissif.
Wulfband. Ce premier album met à l’amende toute l’EBM d’Allemagne de l’Est en radicalisant le propos, en revenant à l’explosivité Punk qui décuple et à une créativité prolixe. L’anonymat du duo en devient accessoire.
Misery Index : Retaliate. Le son des guitares concocté par Dagenais à la manière de ses productions plus techniques, avec l’abattage de Kevin Talley derrière, donne un son Punk qui n’est pas le mieux adapté. À part ça, il reste très bien.
The Chameleons : Script of the Bridge. L'un des albums les plus bouleversants du Post-Punk. Et j'm'y connais ! Personne d'autre n'a écrit des mélodies pareilles.
Wulfband. Ce premier album met à l’amende toute l’EBM d’Allemagne de l’Est en radicalisant le propos, en revenant à l’explosivité Punk qui décuple et à une créativité prolixe. L’anonymat du duo en devient accessoire.
Misery Index : Retaliate. Le son des guitares concocté par Dagenais à la manière de ses productions plus techniques, avec l’abattage de Kevin Talley derrière, donne un son Punk qui n’est pas le mieux adapté. À part ça, il reste très bien.
The Chameleons : Script of the Bridge. L'un des albums les plus bouleversants du Post-Punk. Et j'm'y connais ! Personne d'autre n'a écrit des mélodies pareilles.
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"Verdades se descubren, mentiras se construyen".
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Soilent Green : A Deleted Symphony for the Beaten Down. Avec la touche Sudiste cela sort du lot dans un style où ils sont arrivés quinze ans trop tôt.
Sepultura : Nation. L’un des meilleurs opus de la période Greene, mêlant hymnes à l’ancienne (avec une production bien différente), invitations et expérimentations inspirées autour d’un concept élaboré.
Die Krupps : V - Metal Machine Music. Retour à un Metal Indus plus prononcé, autrement dit à une EBM à grosses guitares à faire crever d’envie bien des imitateurs ou des grosses machines plus connues qui reviennent dans le jeu.
Death : Leprosy. Beaucoup imité de nos jours, la puissance de ses riffs reste difficilement égalable. L'inspiration mélodique n'était pas en reste et participe beaucoup à en faire un classique à l'épreuve du temps.
The Chameleons : What Does Anything Means ? Basically… J’ai découvert ce groupe assez tard et il m’a fait mieux comprendre et relativiser certains autres plus proches de ma génération que j’avais croisés avant. C’est une situation que tout mélomane traverse tôt ou tard, ce n’était pas la première fois pour moi d’ailleurs.
Sepultura : Nation. L’un des meilleurs opus de la période Greene, mêlant hymnes à l’ancienne (avec une production bien différente), invitations et expérimentations inspirées autour d’un concept élaboré.
Die Krupps : V - Metal Machine Music. Retour à un Metal Indus plus prononcé, autrement dit à une EBM à grosses guitares à faire crever d’envie bien des imitateurs ou des grosses machines plus connues qui reviennent dans le jeu.
Death : Leprosy. Beaucoup imité de nos jours, la puissance de ses riffs reste difficilement égalable. L'inspiration mélodique n'était pas en reste et participe beaucoup à en faire un classique à l'épreuve du temps.
The Chameleons : What Does Anything Means ? Basically… J’ai découvert ce groupe assez tard et il m’a fait mieux comprendre et relativiser certains autres plus proches de ma génération que j’avais croisés avant. C’est une situation que tout mélomane traverse tôt ou tard, ce n’était pas la première fois pour moi d’ailleurs.
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"Là où les recrues se mettent à rire, les soldats éprouvés sont graves."
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
MOTÖRHEAD _ Snake Bite Love : un peu mitigé sur cet album, je trouve qu'il manque d'énergie.
IMMORTAL _ Battles In The North : un classique même si la construction des morceau m'a toujours fait halluciner, des fins de morceaux un peu brutes, l'arrivée de la partie centrale de "Blashyrkh (Mighty Ravendark)" mais l'esprit est bien là.
DOOM VS. Earthless : simplement magnifique, l'un des meilleurs groupes du genre à n'en pas douter.
IMMORTAL _ Battles In The North : un classique même si la construction des morceau m'a toujours fait halluciner, des fins de morceaux un peu brutes, l'arrivée de la partie centrale de "Blashyrkh (Mighty Ravendark)" mais l'esprit est bien là.
DOOM VS. Earthless : simplement magnifique, l'un des meilleurs groupes du genre à n'en pas douter.
All is well that ends in hell
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Alchemist : Organasm. C’était sans doute l’un des meilleurs groupes de Death Progressif. Le côté spatial à la Pink Floyd était parfaitement digéré dans un Death incontestable, avec des emmanchements aussi brillants que ceux d’Opeth.
Nine Inch Nails : Pretty Hate Machine. Le premier et également le plus facile à aborder de tous les albums du père Trent.
Du vieux Rammstein en vrac. Même en ayant fait l’effort de les voir il y a longtemps, je n’ai jamais accroché à ce groupe. C’est leur lyrisme expressionniste, quasi opératique et intimement lié à ces shows dantesques, qui a rendu toute séduction impossible. Je préfère définitivement Ministry ou bien sûr les Krupps. Pour autant cette démesure et cette extraversion musicale renoue avec la démarche des pères fondateurs du Hard et du vieux Metal, qui est passablement délaissée depuis longtemps par la scène mais qui marque encore la mémoire du grand public qui associe encore le Metal aux énormes shows de rares grands groupes dans les années 70 et 80. Le succès de Rammstein y tient à mon avis en bonne part.
Wulfband : Revolter. En replongeant dans le Punk, l’EBM reprend l’explosivité et la dinguerie dont elle a parfois besoin, en perfectionnant la formule vue sur le premier album. L’allemand cède le pas au français sur un titre (et ils sont Suédois même s’ils sont aussi masqués). Vivement les suites.
Nine Inch Nails : Pretty Hate Machine. Le premier et également le plus facile à aborder de tous les albums du père Trent.
Du vieux Rammstein en vrac. Même en ayant fait l’effort de les voir il y a longtemps, je n’ai jamais accroché à ce groupe. C’est leur lyrisme expressionniste, quasi opératique et intimement lié à ces shows dantesques, qui a rendu toute séduction impossible. Je préfère définitivement Ministry ou bien sûr les Krupps. Pour autant cette démesure et cette extraversion musicale renoue avec la démarche des pères fondateurs du Hard et du vieux Metal, qui est passablement délaissée depuis longtemps par la scène mais qui marque encore la mémoire du grand public qui associe encore le Metal aux énormes shows de rares grands groupes dans les années 70 et 80. Le succès de Rammstein y tient à mon avis en bonne part.
Wulfband : Revolter. En replongeant dans le Punk, l’EBM reprend l’explosivité et la dinguerie dont elle a parfois besoin, en perfectionnant la formule vue sur le premier album. L’allemand cède le pas au français sur un titre (et ils sont Suédois même s’ils sont aussi masqués). Vivement les suites.
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"Verdades se descubren, mentiras se construyen".
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Tomb Mold : Bottomless Perdition + The Moulting. Le premier mini des tout débuts se rassurait encore par un growl bien réverbéré et des traces fortes d’inspiration Suédoise. Traversant virtuellement la Baltique, le second qui a été pondu entre les deux albums est conforme à leur orientation plus excessive, (faussement) chaotique. Je glapis pour la suite qui va tomber dans les tous prochains jours.
Beheaded : Only Death Can Save You. Contredisant mes angoisses stupides fondée sur un pochette moche, il est tout à fait bien. Du Death brutal bien composé titre par titre mais également charpenté dans son ensemble, au chant naturel… le respect des usages anciens est un gros atout pour ce groupe déjà bien expérimenté mais qui passe pour assez récent en raison d’une production plus ralentie dans les premières années.
Ministry : Twitch. Un court album d’EBM préhistorique, mais finalement intemporel et écoutable trente-cinq ans plus tard au moins pour les amateurs du style. Il a trop peu à voir avec le Ministry classique et reste trop bref pour forcer l’attention du public actuel de Ministry, et pourtant il existe.
Beheaded : Only Death Can Save You. Contredisant mes angoisses stupides fondée sur un pochette moche, il est tout à fait bien. Du Death brutal bien composé titre par titre mais également charpenté dans son ensemble, au chant naturel… le respect des usages anciens est un gros atout pour ce groupe déjà bien expérimenté mais qui passe pour assez récent en raison d’une production plus ralentie dans les premières années.
Ministry : Twitch. Un court album d’EBM préhistorique, mais finalement intemporel et écoutable trente-cinq ans plus tard au moins pour les amateurs du style. Il a trop peu à voir avec le Ministry classique et reste trop bref pour forcer l’attention du public actuel de Ministry, et pourtant il existe.
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gabalgabow
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Underground tape label/ webzine/ Distro:
http://nihilistic-webzine-distro.fr
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Jus de cadavre
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
ASCENDED DEAD - Abhorrent Manifestation
Un Death Metal puissant, brutal, old-school et sombre ! Après la baffe du concert de cette semaine, je redécouvre cet album !
LVCIFYRE - The Calling Depths
Excellent Death teinté de BM ! Violence !
Un Death Metal puissant, brutal, old-school et sombre ! Après la baffe du concert de cette semaine, je redécouvre cet album !
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"If you want a picture of the future, imagine a boot stamping on a human face, forever."
Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Misery Index : Dissent. Cet EP marquait le virage vers un Death un peu plus mélodique dès le premier titre et son long solo, et une brutalité un peu plus aérée (tout restant relatif !), qui sera la marque définitive du groupe pour la suite.
Sepultura : Revolusongs. Cet autre EP, de reprises, n’est pas Punk comme le titre semble indiquer mais témoigne à nouveau de l’éclectisme musical de Sepultura, avec ou sans Max. J’avais eu bien du mal à le trouver.
Die Krupps : Stahlwekrequiem. Prenant à nouveau tout le monde par surprise, ils nous ont fait une suite du tout premier album, totalement pure Indus après un retour totalement EBM Métal. Et depuis, plus rien.
Death : Spiritual Healing. Pas encore ultra technique, c'était quand même une sacrée évolution en quelques semestres, surtout en faisant revenir les anciens compagnons de Mantas. C'est bien plus qu'un album de transition, ces mélodies étaient faites pour durer. Et que devient James Murphy ?
Ministry : The Land of Rape and Honey. Ce n’est pas le plus chargé en guitares, il est encore bien EBM mais cet album a marqué le virage majeur de la carrière avec quelques samples légendaires. Je suis persuadé que le dernier Revolting Cocks y fait référence.
Sepultura : Revolusongs. Cet autre EP, de reprises, n’est pas Punk comme le titre semble indiquer mais témoigne à nouveau de l’éclectisme musical de Sepultura, avec ou sans Max. J’avais eu bien du mal à le trouver.
Die Krupps : Stahlwekrequiem. Prenant à nouveau tout le monde par surprise, ils nous ont fait une suite du tout premier album, totalement pure Indus après un retour totalement EBM Métal. Et depuis, plus rien.
Death : Spiritual Healing. Pas encore ultra technique, c'était quand même une sacrée évolution en quelques semestres, surtout en faisant revenir les anciens compagnons de Mantas. C'est bien plus qu'un album de transition, ces mélodies étaient faites pour durer. Et que devient James Murphy ?
Ministry : The Land of Rape and Honey. Ce n’est pas le plus chargé en guitares, il est encore bien EBM mais cet album a marqué le virage majeur de la carrière avec quelques samples légendaires. Je suis persuadé que le dernier Revolting Cocks y fait référence.
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Jus de cadavre
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
OBITUARY - Slowly we rot
Bon bah...
NAILS - You will never be one of us
LA brutalité. Un album cathartique...
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Soilent Green : Confrontation. Même les plus déjantés finissent par tellement bien maîtriser leur projet pour le rendre plus digeste, quand il y a du talent. C’est le plus accessible de tous, cela restant déjà trop pour bien des oreilles. La pochette délaisse l’art déco au profit d’un japonais plus sobre, mais suggérant plus de fureur peut-être.
Criminal Element : Never Dead. Cette compile de reprises mise en boîte par Vince Matthews et un compère inconnu de moi amalgame des gros classiques du Metal et du HC et quelques surprises. Les hommages viennent du coeur, avec de longues explications des choix. Cela joue pas mal mais le son est bien gras et le growl ramolli, on dirait du Six Feet Under. C’était une façon de clore une histoire personnelle sans doute, en rendant tribut aux inspirateurs de sa carrière active au moment de l’achever.
The Chameleons : Strange Times. Sans évolution de fond superflue, les compos se rallongeaient et les ambiances devenaient plus intimes pour ce troisième album.
Sepultura : Roorback. Cet album est pour beaucoup dans les critiques qui leur tombent dessus depuis vingt-trois ans. Ils avaient voulu faire plus direct, bourrin, et ce n’est clairement pas au niveau des grands classiques question agressivité et inspiration.
Carcariass : E-Xtinction. Voilà bien longtemps que je ne l’avais ressorti ! Une orgie de Death mélodique, je regrette quand même l’orientation de plus en plus instrumentale prise par le groupe au fil du temps.
Criminal Element : Never Dead. Cette compile de reprises mise en boîte par Vince Matthews et un compère inconnu de moi amalgame des gros classiques du Metal et du HC et quelques surprises. Les hommages viennent du coeur, avec de longues explications des choix. Cela joue pas mal mais le son est bien gras et le growl ramolli, on dirait du Six Feet Under. C’était une façon de clore une histoire personnelle sans doute, en rendant tribut aux inspirateurs de sa carrière active au moment de l’achever.
The Chameleons : Strange Times. Sans évolution de fond superflue, les compos se rallongeaient et les ambiances devenaient plus intimes pour ce troisième album.
Sepultura : Roorback. Cet album est pour beaucoup dans les critiques qui leur tombent dessus depuis vingt-trois ans. Ils avaient voulu faire plus direct, bourrin, et ce n’est clairement pas au niveau des grands classiques question agressivité et inspiration.
Carcariass : E-Xtinction. Voilà bien longtemps que je ne l’avais ressorti ! Une orgie de Death mélodique, je regrette quand même l’orientation de plus en plus instrumentale prise par le groupe au fil du temps.
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Jus de cadavre
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
PESTE NOIRE - des morceaux en vrac.
Je ne suis pas du tout un adepte de ce groupe, mais certains morceaux sont justes des éclairs de génies... Le dernier Putsch, Aux Armes, etc... Impressionnant.
Je ne suis pas du tout un adepte de ce groupe, mais certains morceaux sont justes des éclairs de génies... Le dernier Putsch, Aux Armes, etc... Impressionnant.
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Après un jeûne musical de quelques jours en vacances, c’est la reprise.
Ministry : The Mind is a Terrible Thing to Taste. Souvenirs d’un efficace concert à cette période de l’été il y a quelques années, c’est l’un de leurs albums immortels avec certains meilleurs riffs du Monde.
Misery Index : Dissent. Je l’avais adoré car le groupe prenait la direction que je pressentais et désirais, en ouvrant des plans ralentis et vicieux mais moins lourds que ceux de Dying Fetus et une construction générale plus ambitieuse. En plus arrivait Adam Jarvis, pas précisément une fillette à la batterie.
The Eden House : Half Life. Un album récent du projet parallèle de membres des Fields of the Nephilim avec une chanteuse souvent vue aussi dans The Mission. D’ailleurs cela ressemble plus à ce dernier groupe qu’à leur employeur principal. C’est du très bon Rock Gothique fortement teinté d’Atmosphérique, qui intéressera immanquablement les fans de The Gathering période Anneke, de Dead can Dance ou Faith and the Muse.
Ministry : The Mind is a Terrible Thing to Taste. Souvenirs d’un efficace concert à cette période de l’été il y a quelques années, c’est l’un de leurs albums immortels avec certains meilleurs riffs du Monde.
Misery Index : Dissent. Je l’avais adoré car le groupe prenait la direction que je pressentais et désirais, en ouvrant des plans ralentis et vicieux mais moins lourds que ceux de Dying Fetus et une construction générale plus ambitieuse. En plus arrivait Adam Jarvis, pas précisément une fillette à la batterie.
The Eden House : Half Life. Un album récent du projet parallèle de membres des Fields of the Nephilim avec une chanteuse souvent vue aussi dans The Mission. D’ailleurs cela ressemble plus à ce dernier groupe qu’à leur employeur principal. C’est du très bon Rock Gothique fortement teinté d’Atmosphérique, qui intéressera immanquablement les fans de The Gathering période Anneke, de Dead can Dance ou Faith and the Muse.
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Death : Human. On finit par l’oublier mais avoir évolué autant en si peu d’années, en défrichant de nouveaux territoires, par-delà ses limites apparentes, c’est tellement rare. C’est pour cela aussi que cet album reste aussi important. Certes il avait su s’entourer remarquablement (et pourtant j’aime pas Cynic). Et quand je regarde l'ensemble de ma discothèque, c'est l'un des disques qui a eu le plus d'influence sur le reste et la suite.
Warforged : I : Voice. Il y a un paquebot complet d’invités qui débarquent, c’est hyper clean, virtuose… mais ça reflète bien les modes actuelles de mêler le Death technique au Djent et au Prog’ pour créer des émotions assez froides qui me rappellent celles procurées par Fallujah cet hiver. C’est un peu dommage.
Insekt : We Can’t Trust the Insect. Le court premier album du projet de deux membres très actifs de la scène EBM Belge qui va atteindre cette année ses trente ans. C’est moins direct et plus expérimental que les grands classiques, ou alors dans l’esprit de l’album “Geography” de Front 242.
Soilent Green : Inevitable Collapse in the Presence of Contradiction. Malgré une pochette d’un surréalisme plus proche de la bande dessinée européenne et un changement de label, pas de changement pour cet album par lequel les Louisianais atteignaient le bord du précipice de la redondance. Même s’il n’est pas plus mauvais que les autres, on peut comprendre qu’il soit resté le dernier sur ce petit créneau qui restera à jamais bien à eux.
Warforged : I : Voice. Il y a un paquebot complet d’invités qui débarquent, c’est hyper clean, virtuose… mais ça reflète bien les modes actuelles de mêler le Death technique au Djent et au Prog’ pour créer des émotions assez froides qui me rappellent celles procurées par Fallujah cet hiver. C’est un peu dommage.
Insekt : We Can’t Trust the Insect. Le court premier album du projet de deux membres très actifs de la scène EBM Belge qui va atteindre cette année ses trente ans. C’est moins direct et plus expérimental que les grands classiques, ou alors dans l’esprit de l’album “Geography” de Front 242.
Soilent Green : Inevitable Collapse in the Presence of Contradiction. Malgré une pochette d’un surréalisme plus proche de la bande dessinée européenne et un changement de label, pas de changement pour cet album par lequel les Louisianais atteignaient le bord du précipice de la redondance. Même s’il n’est pas plus mauvais que les autres, on peut comprendre qu’il soit resté le dernier sur ce petit créneau qui restera à jamais bien à eux.
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Jus de cadavre
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
AD HOMINEM - Dictator
Le titre d'album parfait pour résumer l'ambiance sur cet album. La définition du BM martial et froid. Et en se permettant de bon assauts bien violent en plus !
UADA - Devoid of light
L'excellent premier album des ricains. De jolies mélodies bien épiques.
FANGE - punir
Dernier album des Rennais. Les mecs sont sur d'eux et balancent leur sludge avec conviction et originalité. Impressionnant.
Le titre d'album parfait pour résumer l'ambiance sur cet album. La définition du BM martial et froid. Et en se permettant de bon assauts bien violent en plus !
UADA - Devoid of light
L'excellent premier album des ricains. De jolies mélodies bien épiques.
FANGE - punir
Dernier album des Rennais. Les mecs sont sur d'eux et balancent leur sludge avec conviction et originalité. Impressionnant.
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Re: Qu'est-ce que vous écoutez là tout de suite?
Ministry : KEՓAΛΗΞΘ. Et voilà comment un petit groupe de Synth Pop asséna dix ans plus tard un classique monumental du Metal éternel ! Et pas du raboté-policé pour emballer le collégien en mal d’émotions ! Sarcastique, agressif, déjanté, écrasant, il combine sublimement les samples utilisés.
The Chameleons : Why Call It Anything ? Album marquant la première réformation au tout début du siècle, il est fatalement beaucoup plus posé (on pourrait dire ramolli). Y'a même un titre à moitié Reggae. Mais y'a quelques jolis morceaux aussi.
Quelques morceaux de Warlord UK. Je laisse leur nom là, comme ça, s’il y a des fans de Bolt Thrower, Benediction, Hail of Bullets et de Death belligérant en général, ils sauront.
The Chameleons : Why Call It Anything ? Album marquant la première réformation au tout début du siècle, il est fatalement beaucoup plus posé (on pourrait dire ramolli). Y'a même un titre à moitié Reggae. Mais y'a quelques jolis morceaux aussi.
Quelques morceaux de Warlord UK. Je laisse leur nom là, comme ça, s’il y a des fans de Bolt Thrower, Benediction, Hail of Bullets et de Death belligérant en général, ils sauront.
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