Messagepar RBD » 27 sept. 2017, 22:10
Nervecell : Past, Present… Torture. Certes, les Dubaïotes ont toujours leur griffe ici et là au détour des morceaux, mais ce troisième album est celui de la rentrée dans le rang. Avec Kevin Foley et surtout l’expérience accumulée, cela gagne en agressivité. Sauf que de bons gros albums de brutes comme ça, il en sort tous les trimestres. Il va nous occuper jusqu’au prochain, ensuite on n’y repensera qu’au moment où on reviendra sur le groupe. Et j’avoue qu’à l’époque du premier album, j’espérai qu’une nouvelle formation exotique et sérieuse allait apporter un peu plus de fraîcheur à la scène. Enfin, un bon album est toujours à prendre.
Le moment où on reprend un album quelques mois après son arrivée est important :
Suffocation : Of the Dark Light. Mon avis n’a pas varié : du Death brutal correct sans plus, un peu mou au coeur et bizarrement lent, heureusement pas assez long pour qu’on s’en lasse. Peut mieux faire, sans remonter loin.
Dying Fetus : Wrong One to fuck with. Là pas de problème, c’est du très bon, la passion est toujours intacte en eux, l’inspiration est revenue dans le genre un peu mélodique de “Destroy the Opposition” ou “War of Attrition”, c’est extra.
Scamp : Mirror Faced Reality, The Deadcalm. J’ai une nette préférence pour le néo-Thrashcore groovy et un peu Cyber de l’école Danoise, par rapport au Death Mélodique Suédois qui a eu plus de succès sur un créneau très voisin. Le second album, mieux abouti encore que le prometteur premier, accueille pour chanteur Michael Boegballe, qui avait précédé Guillaume Bideau dans Mnemic.
Dead can Dance “in Concert”. C’est une compilation de titres live et non un concert entier, mais c’est plus costaud et ça rappelle un très bon souvenir.